1/
Nécessité de disponibilité de deux millions de vaches laitières, contre 908.000
têtes actuellement, par l'importation des vaches laitières pour combler le
manque de têtes à l’échelle national, soit 1.1 millions de têtes. Sachant que la référence de prix de vaches laitières,
est négocié en moyenne à 3200 francs suisses, soit 3200 USD, parmi les
meilleurs races : la Holstein championne de la production laitière, la Brune,
et la Simmental reine bernoise de l'exportation, et étant donné que l’Algérie a
besoin de 1,1 millions de têtes, donc : 1,1 millions x 3200 USD = 3,520 Milliards USD
Le prix
d’importation de 1,1 millions tètes vaches laitières est de 3,520
Milliards USD.
2/ Nécessité de fournir plus de 200.000 hectares de
terres agricoles irriguées à travers le territoire national destinées à la
culture fourragère.
3/
L'importance de développer l’élevage des vaches laitières et de soutenir les
paysans avec les ressources suffisantes notamment hydriques dans le cadre de
coopératives leur permettant d’accroître la production du lait cru.
4/ Par conséquent la facture d’importation de poudre de lait
peut être réduite de plus de 50%, d’ici 2025, si une stratégie « efficace »
venait à être adoptée pour développer la filière de production locale de lait
frais, si les trois premières décisions ci-dessus seront prises et adoptées.
5/ La fabrication de la poudre de lait comme l’Argentine (un
pays exportateur de la poudre de lait), par encouragement de réalisation des
lignes de production de poudre de lait en Algérie par l'état et par les
compagnies privées ou aussi par partenariat de l'état algérien avec les
compagnies étrangères.